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Arno - Page 17

  • Incroyable baptême de voltige aérienne

    Samedi dernier était un jour assez spécial. Il avait des airs de Noël, et je m'étais levé de bonne heure pour en profiter. Car ce jour-là, je m'apprêtais à réaliser mon baptême de voltige à Dijon ! Aux alentours de neuf heures du matin, ma famille et moi nous sommes rendus à l'aérodrome où mon vol devait avoir lieu. Une fois sur place, j’ai fait la connaissance de mon pilote, Julien. Deux autres participants étaient là comme moi pour vivre ce vol. Julien, qui nous servait aussi d'instructeur, nous a fait un sympathique briefing nous présentant chaque figure prévue sur le programme de vol. Ce dernier semblait corsé, et je voyais ma femme lever un sourcil de plus en plus haut au fil du briefing, signe qu'elle commençait à douter du bien-fondé de cette expérience. Heureusement, le briefing était court, et nous sommes passés aux choses sérieuses juste après. Comme nous allions passer dans l'ordre où nous étions arrivés, j’étais le dernier à passer ce matin-là. J'ai donc regardé les deux premiers embarquer chacun leur tour à bord du Cessna et décoller. Wow ! Vu d'en bas, le spectacle était déjà saisissant, et ma femme semblait de plus en plus nerveuse. Le moment est enfin venu où j'ai dû mettre mon parachute et rejoindre l'appareil qui atterrissait. Cette fois, c'était à moi ! Je me souviendrai toujours de ce moment où je grimpe dans l'avion en faisant une dernière prière silencieuse. Julien s'assure que mon casque-micro fonctionne bien, puis nous met sans attendre face à la piste et me demande si je suis prêt. Ce n'est à l'évidence qu'une question de pure forme, car il décolle avant même que j'aie eu le temps de répondre ! Les premières secondes, le spectacle est reposant. Je regarde la terre en dessous et profite de la beauté du monde. Mais voilà que Julien me signale qu'on va amorcer la voltige. Et là, dès la première vrille, c'est le paradis. La sensation est indescriptible et prend aux tripes. Je me sens écrasé par les G, mais ce n'est pas pour autant une sensation désagréable. Cependant ce n'est là qu'un début, car les figures s'enchaînent ensuite sans le moindre répit : tonneaux lents, rapides, vol dos... Au final, c'est à pas moins de 30 minutes d'acrobaties auquel j'ai droit ! Quand je suis ressorti de l'appareil, autant vous dire que j'étais trempé de sueur. Mais j'ai beaucoup aimé ce vol acrobatique, et le conseille à tous les amateurs d'adrénaline ! A lire sur le site internet de cette activité de voltige aérienne à Dijon.

  • Espionnage moderne

    Les membres de la famille de Paul Whelan ont fait savoir sur CNN qu’il était innocent des crimes dont on l’accuse. Le son de cloche est sensiblement différent du côté des services russes de renseignement. Le FSB a annoncé avoir arrêté Paul Whelan vendredi alors qu’il était en train de commettre un acte d’espionnage. D’après l’agence Tass, une procédure pénale a également été ouverte contre cet Américain qui risque, s’il est reconnu coupable, une peine de 10 à 20 ans de prison en vertu de l’article 276 du Code pénal russe. Cela permet également d’en déduire qu’il est accusé d’avoir transféré, collecté, stocké des informations constituant un secret d’Etat dans le but de les transmettre à un Etat étranger ou une organisation internationale. Ici, en Russie, il est difficile de ne pas faire de lien avec l’arrestation aux Etats-Unis en juillet dernier de Maria Butina, une citoyenne russe accusée d’avoir infiltré des organisations politiques en vue de promouvoir les intérêts de la Fédération de Russie. Risquant 30 ans de prison, elle a décidé de plaider coupable pour alléger sa peine alors que le Kremlin a toujours qualifié d’infondées les accusations portées contre elle. Cette nouvelle affaire d’espionnage opposant Moscou à Washington démontre la dégradation des relations entre les deux pays et illustre les tensions auxquelles ils font face. « Son innocence ne fait aucun doute », assure la famille Avec notre correspondance à Washington, Anne Corpet La famille de Paul Whelan s’est inquiétée dès vendredi de ne pas avoir de ses nouvelles. L’ancien Marine, qui travaille dans le domaine de la sécurité, a pour habitude d’appeler régulièrement ses parents âgés. En Russie pour un mariage Paul Whelan se trouvait à Moscou pour un mariage, mais il a été interpellé pour espionnage par les autorités russes. Une accusation qui fait bondir son frère : « son innocence ne fait aucun doute », a déclaré David Whelan à la chaine de télévision CNN. David Whelan espère que les autorités consulaires américaines pourront bientôt rendre visite à son frère emprisonné. « On ne sait pas grand-chose, dit-il. On a hâte d’avoir accès à Paul pour savoir s’il est en bonne santé et pour l’aider à trouver un avocat afin qu’il puisse se défendre contre ces charges criminelles. Notre seul objectif est de sortir Paul de Russie. C’est vraiment notre seul but : ramener Paul à la maison. » Paul Whelan, âgée de 48 ans, est directeur de la sécurité internationale du groupe BorgWarner, un fabricant de pièces détachées dans le secteur automobile dont le siège est près de Détroit, a précisé son frère à plusieurs médias américains. Le groupe a publié un communiqué confirmant ces fonctions occupées « dans nos installations d'Auburn Hills, Michigan, et sur d'autres sites de l'entreprise à travers le monde ». BorgWarner est en contact avec les autorités américaines « afin d'aider notre employé et le gouvernement américain ».

  • Boeing en avance sur ses livraisons

    Boeing Co (BA.N) a livré 61 de ses 737 avions monocouloir les plus vendus en septembre, enregistrant une hausse inattendue des chiffres du mois d'août et laissant supposer des problèmes de fabrication chez les fournisseurs.    La nouvelle a brièvement propulsé les actions de Boeing en territoire positif au cours de la séance de l'après-midi, un jour où les actions industrielles ont été freinées par les préoccupations liées au commerce et à la croissance de la Chine.    La production de Boeing a été touchée par des retards chez des fournisseurs tels que le fabricant de fuselages Spirit AeroSystems Inc (SPR.N) et la coentreprise GE, CFM International, qui fabrique des moteurs pour les 737, n'ayant livré que 29 avions en juillet.    La remontée à 48 avions en août laissait espérer que la compagnie pourrait toujours atteindre son objectif de livrer 50 avions de plus au total en 2018 que le record de 763 de l'année dernière.    Le président-directeur général, Dennis Muilenburg, a déclaré le mois dernier que les livraisons des 737 avions de ligne à fuselage étroit en septembre seraient aussi bonnes qu'en août.    Les chiffres trimestriels de Boeing font état de progrès constants en matière de fournisseurs et préparent le premier constructeur mondial d'aéronefs à une solide fin d'année, a déclaré Sheila Kahyaoglu, analyste chez Jefferies.    "Nous nous attendons à une reprise complète au quatrième trimestre", a déclaré Kahyaoglu.  Ces chiffres ont porté le nombre total de livraisons d'avions pour les neuf premiers mois de 2018 à 568, en hausse par rapport à 554 fin septembre 2011.    Boeing, qui devrait livrer entre 810 et 815 avions en 2018, est face à son principal concurrent, Airbus SE (AIR.PA), qui a livré 503 appareils jusqu'en septembre de cette année, contre 454 livraisons à la même période l'an dernier.    Boeing a livré 57 avions en septembre dernier.  L'Airbus SE d'Europe (AIR.PA) est aux prises avec des retards dans les livraisons et des problèmes de qualité, laissant une trajectoire abrupte dans les livraisons pour le quatrième trimestre afin d'atteindre les objectifs de fin d'année.    À ce jour, huit des appareils Bombardier CSeries récemment acquis, désormais connus sous le nom de A220, ont été livrés jusqu'à présent. La société basée à Toulouse en France prévoit de livrer environ 800 avions en 2018, à l'exception de la A220 de conception canadienne. A lire sur le site de simulation de vol Boeing