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Une parfumerie générale

Komorebi est une variation de 9.0 Yuzu Ab Irato. Un nom japonais intraduisible, Komorebi décrit avec éloquence la lumière du soleil filtrée à travers les feuilles des arbres. Son étymologie révèle la sophistication et la poésie du concept distillé en lui par l'esprit japonais: les trois kanji qui l'expriment signifient arbre », évasion» et lumière ». Komorebi est la lumière qui relie le ciel et la terre, guidée par le symbole le plus puissant de la nature: l'arbre. Le monde végétal, l'air et la lumière sont les trois grands principes qui ont inspiré Pierre Guillaume pour cette refonte du thème de la Maison 09, le floral aromatique », exploré pour la première fois en 2006 avec Yuzu Ab Irato. Cette fois, le parfumeur offre la poésie végétale d'une brassée de feuilles fraîches et de baies charnues. Son parfum nous entraîne dans une forêt romantique, création de parfum la lumière du soleil filtrant à travers les feuilles de chênes et de noisetiers par une belle journée d'été. Komorebi doit sa naturalité saisissante à sa structure aérée et verte. Une brassée de feuilles de menthe croquantes et une brise parfumée à la sève ouvrent la composition avec des notes de tête fraîches et vivifiantes. Son cœur bat au rythme du parfum délicat mais puissant de la réséda, dont les facettes balsamiques sont rehaussées de mimosa vert poudré. Le cassis juteux ajoute une dimension sensuelle et fruitée. Les notes de fond sont dominées par le noisetier à grain fin et le chêne puissant, enveloppé d'absolu de fève tonka. Pierre Guillaume Komorebi est disponible en eau de parfum 50 et 100 ml. (via communiqué de presse) Peut-être intéressant 20 Commentaires 25 avril 2018 à 12h39 J'adore le nom et la poésie derrière. Pas toujours un fan de mimosa, mais je vais certainement goûter celui-ci si je peux le trouver. Je suis un fan de PG depuis longtemps. Je viens de me rappeler qu'Ayala Moriel en avait un aussi! :: soupirs :: Je souhaite que les rédacteurs publicitaires cessent d'utiliser intraduisible "comme synonyme d'un mot sans équivalent direct en anglais". Il semble qu'ils aient rendu le sens de komorebi "tout à fait compréhensible. Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas un seul mot équivalent que l'idée ne peut pas être exprimée efficacement. Veuillez continuer. Ne fais pas attention à ma grogne… 25 avril 2018 à 13h25 Excellent point, j'adore ce commentaire. Je juge souvent la grammaire, l'utilisation des mots, etc. dans ces descriptions (pas que je sois parfait, bien sûr), j'aime juste y penser comme comment aurais-je écrit cela? J'ai aimé leurs descripteurs: la lumière du soleil filtrée à travers les feuilles des arbres »et surtout la lumière qui relie le ciel et la terre.» Je pense qu'ils l'ont très bien traduit, donc pas intraduisible après tout, comme vous l'avez dit. 25 avril 2018 à 14h21 Gardez à l'esprit que cela en soi est probablement une traduction! Il faudrait donc regarder le français original, je pense, et voir quel mot ils ont utilisé là-bas. 25 avril 2018 à 15h34 Je suis aussi un lecteur qui grogne parfois… mais cela ne m'a pas dérangé parce que le mot intraduisible «fait référence au nom unique» en particulier, pas le mot ou le concept. Donc, très bien, nous n'avons pas un seul nom pour komorebi », c'est vrai. J'ai même (alerte nerd) allé sur le site de Pierre Guillaume, choisi le français, et lu, Nom masculin, japonais, intraduisible dans notre langue… ”, que je traduirais également en Un nom japonais intraduisible”. Je pensais qu'il était intéressant qu'au lieu du français «il lisait notre langue». de toute façon, cela ressemble aussi à un parfum très intrigant! 25 avril 2018 à 16h05 J'adore PG en général, l'un de mes trois premiers étant Indochine, a donc envoyé un texto à un ancien collègue originaire du Japon. Plusieurs fois, il m'a aussi dit qu'il n'y avait pas tout à fait une traduction, mais il expliquait toujours le sens ou le sentiment. Il m'a dirigé vers ce poème qui a été publié dans le NY Times en 2015. Komorebi sont trois petites formes, Je regarde comment la lumière les traverse, jeter une ombre dans les deux sens à la fin de l'année, sur le chemin rousse barré de l'ombre des arbres. J'aime la façon dont il exulte, comme tout évadé, sur le lac en ondes réfléchissantes lentes, en bandes rayonnantes remontant les troncs de bouleau selon une fréquence inconnue, et dans le cormoran y étendant ses ailes mouillées dans un geste messianique, par la parole et la beauté du monde. Très bien, merci. Maintenant, je veux vraiment sentir le parfum. Mon Dieu. Ce fut une surprise. Je suis l'auteur de ce poème, et par coïncidence, il se trouve que je suis un lecteur à long terme de NST! (10 ans et plus). Je suis ravi que vous l'ayez reproduit ici, et aussi que PG ait produit un parfum avec ce nom. Je pense que je devrais peut-être acquérir une bouteille… Wow, Kately… la sérendipité frappe. Beau poème aussi. 25 avril 2018 à 18h20 Quelle fantastique Kately, et quel beau poème! Il me semble qu'une bouteille doit venir d'une manière ou d'une autre. 25 avril 2018 à 18h27 Merci Robin et galbanumgal. Je pense que la poésie et le parfum sont peut-être assez proches à certains égards. Et certainement, une bouteille semble sur les cartes. Même si je me disais de faire preuve de retenue cette année

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