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  • Moins de bruit en modifiant la trajectoire des avions

    Les trajectoires des avions (issues des données radar) seront corrélées aux données de bruit. Pour cela, le temps universel UTC constituera la base de temps commune des stations de mesures (bruit + météo), des données radar et météo, et du système central. Un système d'initialisation périodique des diverses horloges internes de chaque unité du système de surveillance sera mis en place. La périodicité de synchronisation sera définie après évaluation des dérives temporelles propres de chaque unité. Des renseignements statistiques sur le trafic observé comme la fréquentation par piste et par QFU, le type de mouvement, les types d'appareil, la vitesse de l’appareil, etc., seront également indiqués, ainsi que des statistiques concernant le respect des procédures de navigation aérienne. Les mesures de bruit pourront être corrélées avec des informations de trajectographie (bruit fonction de la vitesse, de l’altitude de survol, du type, etc…). L’ensemble de ces informations pourra constituer une base de données facilement accessible, et exportable vers l’extérieur (transfert sous Excel par exemple). Des analyses complémentaires pourront ainsi être effectuées simplement. Le système devra être capable d’établir une trajectographie à partir des données radar DACOTA ou STR (en X,Y et FL), ou à partir de données radar secondaire (en rho, téta et FL). Dans ce dernier cas, les données devront être projetées en prenant des précautions, et les biais (notamment le biais en azimut) du radar devront être corrigés. La DGAC pourra communiquer la valeur de ces biais à la demande. Remarque : Le STR calcule automatiquement les erreurs systématiques en distance et azimut des radars qu’il utilise pour l’élaboration de la situation aérienne (détermination des biais en distance et azimut), ces informations sont fournies dans le déport STR au format ASTERIX décrit dans le document. Elles sont très fiables, et peuvent être utilisées directement pour corriger les erreurs systématiques du radar. Cette méthode permettrait de bénéficier d’une mise à jour automatique des biais, notamment après les maintenances périodiques d’antenne. Elle permettrait également d’éviter la mise en place d’une procédure d’échange d’informations sur les biais avec les services de la navigation aérienne. Source: vol fouga magister

  • L'homme qui paie les amendes des islamistes

    Générosité ou simple provocation? Un businessman français se dit prêt à payer les amendes pour celles qui continueront de mettre des burkinis sur les plages. Pour l'instant, ce n'est qu'une intention: cet homme a déjà payé quelques amendes pour les femmes qui refusent de se soumettre à l'interdiction officielle, et il promet de le faire encore dans le futur. Selon The Independent, Rachid Nekkaz, un entrepreneur français d'origine algérienne, a déclaré qu'il était prêt à payer les amendes pour les femmes musulmanes qui continuent de porter des burkinis à la plage. Le businessman, quant à lui, ne soutient ni le burkini, ni le niqab, mais il considère que dans un pays démocratique on ne peut pas mettre de tabou sur des vêtements. "Dès que je vois le gouvernement français violer les libertés fondamentales des citoyens, je sors le chéquier," a dit M.Nekkaz dans une interview accordée aux journalistes. Selon lui, on risque d'avoir l'impression qu'en France il est dangereux d'être musulman. En 2010, M.Nekkaz a créé une "Fondation pour la protection de la liberté" dotée d'1 million euros, afin de payer des amendes pour les femmes qui continuent de porter le niqab ou le burkini même après l'interdiction officielle. Le businessman a déjà payé pour 232.000 euros d'amendes. Ces dernières semaines, un arrêté interdisant le port du burkini sur les plages françaises a été établi. Les policiers se sont déjà mis à distribuer des amendes pour la violation de la loi.

  • Des drones porteurs de drogue

    Des drones chargés de stupéfiants et de portables ont été interceptés près d'une prison britannique. La police britannique a saisi le 14 août dernier des drones transportant une grande quantité de drogues dures et des téléphones portables à la prison de Pentonville, située dans la banlieue de Londres, rapportent les médias. ?"Nous avons réussi à les intercepter grâce à la vigilance des policiers et des habitants locaux", a déclaré Steve Heatley, inspecteur en chef de la police. Un quadricoptère s'est écrasé après avoir été repéré par la police et l'autre a été intercepté en vol dans le cadre de l'opération Airborne réalisée du 12 au 14 août. Selon la chaîne de télévision BBC, les policiers ont vu un inconnu suspect près de la prison de Pentonville le 13 août. L'homme a réussi à échapper à la police. La prison de Pentonville contient des détenus de catégories B et C (pour lesquels les conditions de haute sécurité ne sont pas jugées nécessaires), et d'autres qui purgent de courtes peines ou se trouvent au début d'une longue peine.